EN PARLER
• À des associations : spécialisées dans la lutte contre les violences
• Appeler le 3919 : ligne d’écoute anonyme et gratuite, 7j/7 et 24h/24
• À votre entourage et/ou des professionnels : soignants, travailleurs
sociaux, enseignants, avocats, cellules d’écoute
PORTER PLAINTE
• Au commissariat ou en gendarmerie : les forces de l’ordre disposent d’une grille d’évaluation du danger et des psychologues et intervenants vous accompagnent
• Sur la plateforme de signalement des violences sexuelles et sexistes : deux brigades sont formées et vous orientent
vers la plainte 24h/24, 7j/7
https://arretonslesviolences.gouv.fr
• À l’hôpital : généralisation de la plainte à l’hôpital et certificat médical de constatation des violences
ÉLOIGNER LE DANGER
L’auteur des violences part !
Éviction de l’auteur des violences (mesure d’éloignement, saisie des armes)
Centre de soins et d’hébergement des auteurs.
Si la victime des violences part
elle ne sera plus redevable du loyer
Garantie Visale : l’État se porte garant pour le relogement des femmes victimes
Hébergement d’urgence : places d’hébergement dédiées et géolocalisées par les professionnels
Accès facilité à un logement social
LA LOI EST DE VOTRE CÔTÉ
Vous protéger :
L’ordonnance de protection (éloignement, interdiction de détenir une arme, suspension et aménagement
possible de l’autorité parentale)
Le Téléphone grave danger (dispositif d’alerte des forces de l’ordre et accompagnement par une association)
Le bracelet anti-rapprochement du conjoint violent.
Vous défendre :
Avec l’Aide juridictionnelle pour couvrir les frais de justice.
Des points d’accès gratuits au droit partout en France.
Punir l’auteur des violences :
Condamnation pénale (prison, autorité parentale)
Stages de responsabilisation et de prévention de la récidive.
SE RECONSTRUIRE
• Prise en charge psychologique : 10 centres de soins psycho-trauma ouverts sur le territoire.
• Allocation d’aide au retour à l’emploi :
en cas de démission forcée.
EN CAS D'URGENCE, FAITES LE 17 OU LE 112 (PORTABLE)