Alerte du 25/08/2025 à 08:21
Message d'attention pour les agriculteurs et vigilance pour tous :
Nous constatons une reprise des vols de GPS sur le département ( aucun vol a déplorer cependant sur MONTREAL ).
Soyez vigilant

La Gendarmerie met à disposition des habitants de son territoire l’application PanneauPocket. Par cet outil très simple, elle souhaite tenir informés en temps réel les citoyens des informations de prévention qui les concernent, comportement à tenir en cas de situation d’urgence, alertes cambriolages, cas de risques majeurs. Cette solution est gratuite pour les habitants, sans récolte de données personnelles et sans publicité.
58 Rue Aurensan 32250 Montréal
07 70 20 62 76 cedric.giacomazzi@gendarmerie.interieur.gouv.fr
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Alerte publiée le 25/08/2025
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Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info publiée le 14/08/2025
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Vous êtes victime d'une infraction et vous souhaitez déposer plainte?
Plusieurs solutions s'offrent à vous :
Présentation en brigade de Gendarmerie :
La Brigade de MONTREAL est ouverte au public le Vendredi matin de 08H00 à 12H00 ( 09H00-12H00 les jours fériés ). Dans les autres créneaux il faut vous rendre à la Brigade de Gendarmerie de CONDOM ( horaire du lundi au samedi 08H00 - 12H00 et 14H00 -18H00 , 09H00-12H00 et 15H00-18H00 le dimanche et jours fériés )
Porter plainte en ligne
Ce dispositif permet aux victimes de déposer une plainte à distance via internet, à la suite d’une infraction contre des biens, dont l’auteur est inconnu. En cas d'infraction contre les personne, un dépôt de plainte est obligatoire en unité.
En cas d'arnaque ou d'escroquerie sur internet, pas besoin de dépôt de plainte en unité : rendez vous sur la plateforme THESEE ( pour les particuliers uniquement ) sur le lien suivant : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/N31138
Vous souhaitez signaler un contenu illicite sur internet, rendez vous sur https://www.internet-signalement.gouv.fr/PharosS1/
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info publiée le 16/08/2025
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Votre logement est squatté ? Des démarches existent afin d'obtenir l'expulsion ou l'évacuation forcée des squatteurs.
Qu'est-ce que le squat ?
Squatter (de l'anglais to squat : « occuper sans permission ») est le fait d'occuper un logement sans l'accord de son propriétaire, quels que soient les moyens employés pour le faire (effraction, menaces, contrainte). Il est illégal et puni par la loi. La trêve hivernale ne concerne pas les squats et ne protège donc pas les squatteurs.
La notion de logement peut concerner votre résidence principale, votre résidence secondaire ou un lieu d'habitation occasionnel – même inoccupé. En revanche, pour un local destiné à un autre usage (hangar, garage, terrain), la procédure est différente.
Ce qui ne relève pas du squat
- Un locataire qui se maintient dans le logement après la fin du bail sans payer de loyer et sans l'accord du propriétaire.
- Une personne qui refuse de quitter les lieux après y avoir été hébergée par la personne qui y vit.
- Les faux locataires qui entrent légalement dans un logement réservé via une plateforme touristique comme Airnbnb, refusent de partir et changent les serrures.
- La sous-location : le locataire loue son logement à une autre personne sans l’autorisation du propriétaire.
Ces situations ne relèvent pas de la loi antisquat de 2025, mais d'une procédure civile d'expulsion. Ainsi, la distinction juridique entre squatteur et faux locataire repose sur l’existence d’un titre d’occupation (bail, contrat de location saisonnier…) et sur la manière dont les occupants sont entrés dans le logement (légalement, frauduleusement…).
Les bons gestes :
Vous constatez la présence d'un squat
N'intervenez pas et signalez immédiatement le squat à la police ou la gendarmerie nationale ou bien à la police municipale. Dans tous les cas, une enquête devra être ouverte auprès du commissariat de police ou de la brigade de gendarmerie locale.
Il n'est pas possible de forcer les squatteurs à libérer le logement (art. 226-4-1 du code pénal). Il faut faire les démarches pour obtenir leur expulsion ou leur évacuation forcée.
Une fois l’existence du squat avérée, deux démarches sont possibles.
Deux démarches
1 - La procédure accélérée : l’évacuation forcée
Dans le cas où les squatteurs ont pénétré dans votre domicile, vous devez porter plainte pour violation de domicile afin de pouvoir demander l’évacuation des squatteurs.
Qui peut déposer une plainte ?
Vous pouvez porter plainte si vous êtes :
- propriétaire, locataire ou titulaire d'un droit d'occupation du domicile squatté ;
- une personne agissant pour le compte de celle dont le domicile est squatté (par exemple, en cas d'absence prolongée).
Comment ?
Vous devrez vous rendre dans le commissariat ou la gendarmerie de votre choix pour porter plainte.
Que se passe-t-il après le dépôt de plainte ?
Un officier de police judiciaire établira un constat de squat et recueillera les identités des squatteurs.
Il reviendra ensuite au préfet d'agir : sous 48 heures, il doit décider ou non de mettre en demeure les squatteurs de quitter le logement. Si le préfet décide de la mise en demeure, les squatteurs ont 24 heures pour quitter les lieux.
Si les squatteurs n'ont pas quitté votre domicile dans le délai imparti, le préfet devra le faire évacuer par les policiers ou les gendarmes. Le procureur de la République peut décider d’engager des poursuites pénales en parallèle de l'expulsion.
Pourquoi la procédure a été refusée ?
Deux motifs :
-Les conditions préalables ne sont pas réunies (dépôt de plainte, preuve du domicile, constat d'occupation, difficultés à collecter les pièces justificatives…).
- L'existence d'un motif impérieux d'intérêt général (présence d'enfants mineurs ou de personnes vulnérables – femmes enceintes, personnes âgées sans solution de relogement – ou en situation de précarité, nécessitant une protection sociale).
En cas de refus d'expulsion, le propriétaire peut envisager de demander une indemnisation.
2 - La procédure devant le juge : l’expulsion
Lorsque la procédure accélérée n’est pas possible, ou qu'elle concerne un logement autre que votre domicile, vous devez prendre un avocat qui saisira le tribunal pour autoriser l’expulsion des squatteurs.
Une fois le jugement rendu, les squatteurs sont informés par le commissaire de justice de leur obligation de quitter le logement. S’ils ne respectent pas la décision de justice, le commissaire de justice les informe une seconde fois de leur obligation de quitter les lieux et, le cas échéant, demande au préfet le concours de la force publique pour procéder à l’expulsion.
Bon à savoir
Dans ces deux procédures, il est nécessaire de :
Prouver vos droits sur le logement squatté à l'aide de documents justificatifs (titre de propriété, factures, avis d'imposition).
Prouver également que le logement est squatté. Il est recommandé de faire appel à un commissaire de justice pour dresser un constat.
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info publiée le 16/08/2025
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Les "vrais" démarcheurs sont des travailleurs indépendants ou rattachés à une entreprise (des VRP : voyageur, représentant et placier), qui doivent pouvoir justifier de leur identité et de leur profession. Le contrat signé doit aussi respecter plusieurs conditions (délai de rétractation, devis, conditions de paiement) pour être considéré comme valide.
Les "faux" démarcheurs utilisent le prétexte du porte-à-porte pour s'introduire chez vous afin d'effectuer un repérage en vue d'un cambriolage ou de voler de petits objets de valeur. Ils agissent en général par deux.
Les bons gestes :
Si un démarcheur se présente à votre porte, quelques bons réflexes :
• Si vous le pouvez, vérifiez le nombre de personnes présentes avant d'ouvrir la porte (par le visiophone ou le judas).
• Exigez la présentation d'une carte professionnelle.
• Ne signez rien avant d'avoir le devis en main.
• Ne versez pas d'argent, ne signez pas de chèque, surtout antidaté.
• En cas de doute, proposez d'appeler l'organisme professionnel auquel est rattaché le démarcheur.
• Si le vendeur se montre insistant ou menaçant, composez immédiatement le 17 pour faire intervenir la police ou la gendarmerie.
L'abus de faiblesse
L'abus de faiblesse est le fait de vendre un produit ou de faire signer un devis à une personne en profitant de son ignorance, de sa faiblesse physique ou mentale. Le vendeur a connaissance de la vulnérabilité de la personne et peut aller jusqu'à exercer des pressions répétées pour manipuler la victime de manière à obtenir son consentement.
Vous, ou un de vos proches, êtes victime d'un démarchage abusif menant à un abus de faiblesse ? Des voies de recours existent pour contester et annuler les contrats souscrits.
Vous pouvez également déposer plainte en vous rendant dans le commissariat ou la gendarmerie de votre choix. La plainte sera ensuite transmise au procureur de la République pour qu'il décide des suites à donner à l'affaire.
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info publiée le 15/08/2025
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Partez serein pendant vos vacances ! Grâce à l’Opération Tranquillité Vacances (OTV), la Gendarmerie peut surveiller votre domicile en votre absence. Ce service gratuit vous permet de signaler vos dates de départ afin que des patrouilles soient organisées à proximité de votre logement. Une simple démarche pour limiter les risques de cambriolage.
👉 Inscrivez-vous en ligne en cliquant sur le lien externe ci-dessous ou auprès de votre brigade locale.
✅ Adoptez aussi les bons réflexes : ne signalez pas votre départ sur les réseaux, verrouillez les accès et demandez à un proche de relever le courrier.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R43241
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info modifiée le 14/08/2025
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Vous êtes victime d'un cambriolage :
Premier réflexe : gardez votre calme, ne touchez à rien et appelez le 17 immédiatement.
Prenez des photos en attendant l'intervention de la gendarmerie ou de la police.
Vous devez ensuite vous rendre sans délai dans la brigade de gendarmerie ou le commissariat de police dont vous dépendez pour porter plainte.
Comment limiter les risques de cambriolage ?
Quand vous êtes chez vous, vérifiez la sécurité de votre habitation
- Équipez votre porte d’un système de fermeture fiable, d’un moyen de contrôle visuel (œilleton) ou d’un entrebâilleur.
- Installez des équipements adaptés et agréés (volets, grilles, éclairage programmé, détecteur de présence, systèmes d’alarme).
- Fermez la porte à double tour, même lorsque vous êtes chez vous, et ne laissez pas de clé sur la serrure intérieure d’une porte vitrée.
- Ne facilitez pas l'intrusion des cambrioleurs : mettez sous clé vos échelles, marteaux, tournevis et autres outils de bricolage !
Quand vous vous absentez, quelques bons réflexes pour éviter les cambriolages :
- Ne laissez pas vos fenêtres ouvertes.
- Ne cachez pas vos clés à l'extérieur, même pour les laisser à un ami.
- N'annoncez pas vos dates de vacances sur les réseaux sociaux ou votre messagerie (vocale ou courriel).
- Demandez à une personne de votre entourage de passer chez vous pour récupérer le courrier et ouvrir/fermer vos volets.
Inscrivez-vous au dispositif Opération Tranquillité Vacances (OTV) auprès de la brigade de gendarmerie ou le commissariat de police dont vous dépendez.
Bon à savoir :
Vous pouvez faire intervenir chez vous un correspondant sûreté, gendarme ou policier, expert en sécurité et vidéoprotection. Il réalisera une consultation gratuite et vous bénéficierez de ses conseils pour protéger votre logement. Contactez la brigade de gendarmerie ou le commissariat de votre secteur pour en savoir plus.
Avant de passer à l'action, les cambrioleurs font souvent des repérages, en se faisant passer pour des démarcheurs à domicile. Soyez attentif et n'hésitez pas à signaler un comportement qui vous semble suspect, en relevant si possible des éléments précis d'identification : véhicules (type, marque, couleur, immatriculation) ou individus suspects (caractéristiques physiques, tenue vestimentaire).
Vous pouvez aussi bénéficier du dispositif participation citoyenne, un partenariat entre la mairie de votre commune et la police ou la gendarmerie.
Je suis victime d'un vol dont je connais l'auteur
Je dépose ma plainte dans un commissariat ou une brigade de gendarmerie
Je suis victime d'un vol dont je ne connais pas l'auteur :
Je porte plainte en ligne sur
https://plainte-en-ligne.masecurite.interieur.gouv.fr/
Je m'identifie de préférence via FranceConnect.
Je remplis le formulaire.
Je valide ma déclaration.
Ma demande sera prise en compte par le service traitant.
En fonction des éléments déclarés, ma démarche pourrait nécessiter un rendez-vous.
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info publiée le 14/08/2025
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Pour protéger votre vie privée, éviter l’usurpation d’identité ou la violation de vos données personnelles, les arnaques aux sentiments (brouteurs), le chantage ou encore le cyberharcèlement… il faut commencer par bien paramétrer vos comptes sur les réseaux sociaux. Voici quelques bonnes pratiques à adopter !
Veillez sur vos données personnelles sur les réseaux sociaux
Aujourd’hui, adolescents comme adultes possèdent des comptes sur des réseaux sociaux afin de partager des informations, discuter ou travailler. Derrière chaque compte se cache un grand nombre d’informations personnelles (identité, adresse postale ou de messagerie, numéro de téléphone, date de naissance, photos des enfants, etc.). Vos données personnelles peuvent être utilisées dans le but d'usurper votre identité. Ou encore, sous de faux profils, des cybercriminels ou « brouteurs » peuvent vous séduire en ligne afin de vous soutirer de l’argent. Quand vous vous rendez compte que vos profils sont piratés (photos et noms changés), il est déjà souvent trop tard !
Les bons gestes à adopter
Choisissez un mot de passe robuste
Il doit aussi être unique pour chaque réseau social (12 caractères - majuscules, minuscules, chiffres et caractères spéciaux).
Vérifiez vos paramètres de confidentialité
Par défaut, vos publications sont ouvertes à tous, mais il est possible de restreindre cette visibilité en configurant votre compte.
Ne diffusez pas d’informations personnelles
Celles-ci peuvent être utilisées pour vous nuire. Avant de partager une information, vérifiez également sa véracité.
N’envoyez pas d’argent
Vérifiez toujours l'identité de la personne, et n’envoyez jamais de photos ou vidéos intimes à des contacts virtuels.
Évitez de connecter vos ordinateurs avec les réseaux Wi-Fi gratuits
Ils peuvent être piégés.
Vérifiez régulièrement les connexions à votre compte
Si vous détectez une connexion inconnue, déconnectez-la. Au moindre doute, changez immédiatement votre mot de passe.
Évitez de vous connecter à d’autres sites internet en utilisant votre compte de réseau social.
Supprimez votre compte si vous ne l’utilisez plus.
À savoir
Tous les réseaux sociaux disposent de pages dédiées dans les paramètres de sécurité. Si vous ne parvenez pas à récupérer votre compte, fermez-le et créez-en un nouveau.
Facebook – Assistance Sécurité
En cas de piratage :
Changez votre mot de passe.
Activez la double authentification.
Déconnectez-vous de tous les autres appareils ou sessions encore actives.
Prévenez vos contacts pour qu'ils ne soient pas victimes à leur tour.
Contactez votre banque afin qu'elle surveille les mouvements inhabituels.
Signalez immédiatement le piratage au réseau social concerné.
Vous pouvez également porter plainte.
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info modifiée le 14/08/2025
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« Un ransomware, ou rançongiciel, a pour but d'infecter les ordinateurs, puis de chiffrer les fichiers contenus dans le système infecté. Une rançon est alors demandée (en cryptomonnaie) en échange d’une clé ou d’un mot de passe qui permettra de les déchiffrer. »
Task Force nationale de lutte contre les arnaques
9 bons gestes à adopter :
- Appliquez de manière régulière et systématique les mises à jour de sécurité du système et des logiciels installés sur votre ordinateur.
- Tenez à jour l’antivirus et configurez votre pare-feu. Vérifiez qu’il ne laisse passer que des applications, services et machines légitimes.
- N’ouvrez pas les e-mails, leurs pièces jointes et ne cliquez pas sur les liens provenant de chaînes de messages, d’expéditeurs inconnus ou d’un expéditeur connu, mais dont la structure du message est inhabituelle ou vide.
- N’installez pas d’application ou de programme « piratés » ou dont l’origine ou la réputation sont douteuses.
- Évitez les sites non sûrs ou illicites tels ceux hébergeant des contrefaçons (musique, films, logiciels…) ou certains sites pornographiques qui peuvent injecter du code en cours de navigation et infecter votre machine.
- Faites des sauvegardes régulières de vos données et de votre système pour pouvoir le réinstaller dans son état d’origine au besoin.
- N’utilisez pas un compte avec des droits « administrateur » pour consulter vos messages ou naviguer sur internet.
- Utilisez des mots de passe suffisamment complexes et changez-les régulièrement, mais vérifiez également que ceux créés par défaut soient effacés s’ils ne sont pas tout de suite changés.
- Éteignez votre ordinateur lorsque vous ne vous en servez pas.
Si je suis victime de rançongiciels (ransomwares) ?
- Débranchez l'ordinateur d’internet ou du réseau informatique.
- Isolez les supports touchés par le ransomware ou rançongiciel.
Dans une entreprise, alertez immédiatement votre service informatique.
Ne payez pas la rançon, vous alimenteriez le système mafieux, sans certitude de récupérer les données.
Déposez une plainte auprès de la police ou de la gendarmerie ou en écrivant au procureur de la République dont vous dépendez.
Rapprochez-vous de votre fournisseur d’anti-virus ou prestataire de service.
Vous pouvez retrouver quelques clés et outils de déchiffrement sur le site nomoreransom
Vous pouvez également trouver des prestataires (prestation payante) sur le site cybermalveillance.gouv.fr
Pour les particuliers
Je porte plainte en ligne sur la plateforme dédiée (THESEE)
Je dépose une plainte pour une arnaque sur internet
Pour les entreprises
Je porte plainte dans un commissariat ou une brigade de gendarmerie
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info modifiée le 14/08/2025
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Une forme d'arnaque
L’hameçonnage (phishing en anglais) est une technique frauduleuse destinée à leurrer l’internaute pour l’inciter à communiquer des données personnelles (comptes d’accès, mots de passe…) et/ou bancaires en se faisant passer pour un tiers de confiance. Il peut s’agir d’un faux message, SMS ou appel téléphonique de banque, de réseau social, d’opérateur de téléphonie, de fournisseur d’énergie, de site de commerce en ligne, d’administrations, etc.
4 bons gestes à adopter :
- Attention aux expéditeurs inconnus : soyez particulièrement vigilants sur les courriels provenant d’une adresse électronique que vous ne connaissez pas ou qui ne fait pas partie de votre liste de contact. Soyez attentif au niveau de langage du courriel : même si cela s’avère de moins en moins vrai, certains courriels malveillants ne sont pas correctement écrits. Si le message comporte des erreurs de frappe, des fautes d’orthographe ou des expressions inappropriées, c’est qu’il n’est pas l’œuvre d’un organisme crédible (banque, administration …).
- Vérifiez les liens dans le courriel : avant de cliquer sur les éventuels liens, laissez votre souris dessus. Apparaît alors le lien complet. Assurez-vous que ce lien est cohérent et pointe vers un site légitime. Ne faites pas confiance aux noms de domaine du type impots.gouvv.fr, impots.gouvfr.biz, infocaf.org au lieu de www.caf.fr.
- Méfiez-vous des demandes étranges : posez-vous la question de la légitimité des demandes éventuelles exprimées. Aucun organisme n’a le droit de vous demander votre code carte bleue, vos codes d’accès et mots de passe. Ne transmettez rien de confidentiel, même sur demande d’une personne qui annonce faire partie de votre entourage.
- L’adresse de messagerie source n’est pas un critère fiable : une adresse de messagerie, provenant d’un ami, de votre entreprise, d’un collaborateur, peut facilement être usurpée. Seule une investigation poussée permet de confirmer ou non la source d’un courrier électronique. Si ce message semble provenir d’un ami – par exemple pour récupérer l’accès à son compte – contactez-le sur un autre canal pour vous assurer qu’il s’agit bien de lui.
Si je suis victime d'hameçonnage ?
Comment s’en prémunir ?
Utilisez un logiciel bloqueur de publicités, de filtre anti-pourriel, ou activer l’option d’avertissement contre le filoutage présent sur la plupart des navigateurs.
Installez un anti-virus et mettez-le à jour.
Désactivez le volet de prévisualisation des messages.
Lisez vos messages en mode de texte brut.
Comment réagir ?
Si vous avez un doute sur un message reçu, il y a de fortes chances que celui-ci ne soit pas légitime.
N’ouvrez surtout pas les pièces jointes et ne répondez pas.
Supprimez le message puis videz la corbeille.
S’il s’agit de votre compte de messagerie professionnel : transférez-le au service informatique et au responsable de la sécurité des systèmes d’information de votre entreprise pour vérification. Attendez leur réponse avant de supprimer le courrier électronique.
Si vous voyez une fenêtre POP-UP, ne cliquez jamais sur l’annonce, même si le bouton de fermeture est énorme. Utilisez toujours la croix (X) dans le coin.
Je porte plainte dans un commissariat ou une brigade de gendarmerie
Brigade de Gendarmerie de Montréal
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Info modifiée le 14/08/2025
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Actualité partagée depuis l'application Ma Sécurité
Les crypto-actifs sont des « monnaies » numériques qui circulent sur des réseaux informatiques ouverts. Que vous envisagiez d’acquérir des crypto-actifs ou que vous en possédiez déjà, il est important de rester vigilant. Dès maintenant, vous pouvez mettre en œuvre quelques bonnes pratiques.
📲 Réduisez votre exposition : évitez de conserver tous vos avoirs sur une seule plateforme ou un "hot wallet". Préférez les portefeuilles hors ligne ("cold wallets") et diversifiez vos moyens de stockage.
👁️🗨️ Restez vigilant : méfiez-vous des promesses de gains rapides, des usurpations d’identité (faux conseillers, services techniques) et des arnaques à l’investissement.
🔒 Verrouillez bien vos comptes : activez la double authentification, utilisez des mots de passe robustes et changez-les régulièrement.
💾 Prévoyez un protocole : sauvegardez vos clés privées dans un lieu sûr, informez une personne de confiance en cas d’incident, et définissez une procédure d’urgence.