Posanges - 21350

Le couple de démarcheurs que nous vous avons signalé il y a une dizaine de jours sévit toujours en Côte-d'Or.

Plusieurs personnes âgées ont été victimes du vol de numéraire dans leur habitation, à Messigny-et-Vantoux, Renève, Magny-sur-Tille, Comblanchien.

La manière d'opérer est toujours la même. Ils prétextent agir pour une association et proposent à la vente des cartes postales, des photos... Pendant que la jeune femme distrait la personne âgée, le jeune homme en profite pour faire le tour de la maison à la recherche de bijoux et de numéraire.

Signalement des auteurs : un garçon blond, pas très grand, corpulence forte, européen et une fille cheveux longs (couleur châtain clair), 1,60 mètre, corpulence normale, tous deux âgés d'environ 18 ans.

Ils ont été aperçus à bord d'une Renault Clio blanche, immatriculée DV-237-??

Si vous apercevez ce véhicule ou des personnes correspondant à la description, nous vous demandons :

- de composer sans délai le 17 afin de prévenir au plus vite la gendarmerie ;

- de relever le maximum d'informations sur les occupants du véhicule et leur direction de fuite ;

- d'être particulièrement vigilant.

Quoi qu'il en soit, n'intervenez jamais par vous même.

Major Frédéric Pozzo di Borgo

Référent sûreté régional

Groupement de gendarmerie départementale de la Côte-d'Or

Cellule Prévention technique de la malveillance

30, boulevard Maréchal Joffre - 21000 Dijon

La gendarmerie vous informe d’une recrudescence de cambriolages sur l’ensemble du département de la Côte-d'Or, touchant à la fois des habitations principales, secondaires, ainsi que certains bâtiments communaux ou professionnels.

Dans ce contexte, la vigilance de tous est essentielle. La gendarmerie appelle à une mobilisation collective afin de renforcer la prévention et la réactivité face à ces actes. Tout comportement suspect doit être immédiatement signalé en composant le 17, numéro d’urgence disponible 24h/24.

Qu’est-ce qu’un signal faible ?

Un signal faible est un indice a priori anodin, isolé ou peu significatif, mais qui peut, mis en contexte, révéler un repérage en cours, une tentative préparatoire ou un comportement inhabituel précurseur d’un passage à l’acte.

Exemples de signaux faibles à ne pas négliger :

Un véhicule inconnu effectuant plusieurs passages lents dans un quartier ou garé sans raison apparente à proximité d’habitations.

Une personne photographiant ou observant attentivement des bâtiments, sans motif clair.

Un individu se présentant au domicile ou à la mairie sous un faux prétexte (demande de renseignements, vente, fausse qualité...) et posant des questions sur les habitudes d’occupation.

Des traces inhabituelles sur les portes ou fenêtres (marques, rubans, symboles...).

Des aboiements répétés de chiens, déclenchés en pleine nuit sans raison visible.

Recommandations pratiques :

Sensibiliser les administrés à la vigilance de voisinage, notamment par des relais en mairie, bulletins communaux ou réseaux sociaux.

Sécuriser les accès aux bâtiments communaux sensibles (portes, fenêtres, alarmes, éclairage extérieur, vidéoprotection).

Favoriser l’échange d’informations entre voisins, élus et forces de l’ordre via des dispositifs comme la participation citoyenne.

Surveiller les abords des zones isolées ou peu fréquentées, particulièrement en soirée ou le week-end.

Veiller à l’entretien de la végétation autour des bâtiments pour éviter les zones de dissimulation (haies, arbustes, etc.).

Lors de tout appel au 17, il est important de fournir un maximum de renseignements précis : description des individus ou véhicules (immatriculation, couleur, marque, tenue vestimentaire...), direction de fuite, heure des faits... sans jamais vous mettre en danger ni intervenir directement.

Nous vous remercions de relayer ce message auprès de vos administrés et de rester attentifs à ces signaux faibles qui, mis bout à bout, peuvent permettre de prévenir efficacement les infractions.

La gendarmerie reste pleinement mobilisée pour votre sécurité.

Gendarmerie de la Côte-d'Or

Samedi 8 mars, deux anciens obus de 15 cm ont été signalés dans un logement de la périphérie dijonnaise. Ce type de découverte, souvent hérité de la Première ou de la Seconde Guerre mondiale, est relativement fréquent dans notre région.

Ces engins restent instables et peuvent être extrêmement dangereux. En effet:

le 11 mars, un homme s’est retrouvé lourdement blessé à la main en manipulant une grenade à plâtre, trouvée dans son nouveau logement.

Nous appelons donc à la plus grande vigilance si vous êtes confronté à ce genre de matériel. Si vous tombez sur un explosif, si vous en avez la connaissance, ou si vous en possédez, voici quelques conseils à suivre :

En cas de découverte de munitions, obus, d'explosifs ou d'engins suspects :

1/ Veiller à ne pas manipuler ces engins

2/ Empêcher l'accès au lieu

3/ Informer sans délai la mairie ou la brigade de gendarmerie sur place.

4/ limiter au maximum la communication sur la découverte pour ne pas susciter l’attrait des curieux.

Rôle du maire :

prendre, au titre de ses pouvoirs généraux de police, les mesures conservatoires indispensables pour préserver la sécurité publique en collaboration avec les services de police ou de gendarmerie dont il dépend.

IL demande à la préfecture - Service interministériel de défense et de protection civiles (SIDPC) - l'intervention des services du déminage. Ce dernier apprécie l'urgence et les moyens à mettre en œuvre pour intervenir.

Les missions des équipes d'intervention :

Une équipe d'intervention du déminage est constituée au minimum de deux démineurs, qui exécutent leur travail de façon autonome. Selon l'importance des missions, plusieurs équipes peuvent être mises en place simultanément.

Mission de dépollution (enlèvement de munitions anciennes) :  

Dans la mesure où ces munitions ont bien été identifiées, et qu'elles ne sont pas manipulées, elles ne présentent pas, dans la majorité des cas, un caractère de danger immédiat. L’enlèvement est opéré lors de tournées organisées par les chefs de centre.

Découverte d'objets suspects :

Les interventions sont déclenchées, selon la même procédure, par les centres opérationnels de zone ou par le Centre opérationnel de gestion interministérielle des crises (COGIC). La quasi totalité des centres de déminage assure une permanence 24 h/24 h, afin de répondre plus rapidement aux nombreuses demandes qui parviennent au service.

Pour info, l'intervention des services de déminage est gratuite sans procédures pénale.

Arrêté préfectoral relatif à la pêche en Côte-d'Or en 2025

Du 1er septembre 2024 au 31 aout 2025.

Pouilly-en-Auxois / Montbard

Enedis - Préfecture de Côte d'Or : Informations prévention des risques de chutes d'arbres sur lignes électriques

Qui est responsable de l’élagage des lignes électriques ?

L'entretien et la taille des buissons et arbres sur une propriété privée revient à son occupant. Sur le domaine public, c'est le gestionnaire du réseau électrique qui en a la charge.

Les situations où l’élagage est à la charge de l'occupant de la propriété

Il incombe à l'occupant des lieux la responsabilité de l'élagage lorsque :

L'arbre est planté en propriété privée et déborde sur le domaine public où est située la ligne électrique.

L’arbre a été planté après la construction de la ligne électrique qui est au-dessus du domaine privé.

Le fil électrique surplombe le terrain privé.

Il revient à l'occupant de réaliser l’élagage lui-même ou faire appel à une entreprise agréée de son choix, le tout à ses frais.

En cas de chute d'arbre sur la ligne électrique, vous êtes tenu responsable des dommages occasionnés.

Si une chute est imminente ou qu'un arbre est déjà en contact avec une ligne électrique, il faudra contacter le numéro de dépannage d'ENEDIS : le 09 726 750 suivi des 2 chiffres de votre département (par exemple le 69 pour Lyon). Il ne faut jamais couper soi-même une branche qui touche un fil électrique.

À noter que dans tous les deux cas, l'occupant a l’obligation de contacter Enedis en amont des travaux via une DT-DITC (Déclaration de projet de Travaux – Déclaration d’Intention de Commencement de travaux) à effectuer gratuitement et en ligne sur le site public : reseaux-et-canalisations.ineris.fr.