Je demande à tous
de bien vouloir respecter
le stationnement
aux emplacements prévus
ainsi que
les stationnements alternés,
également sur les trottoirs,
ce qui est interdit.
Tous les jours
je reçois des plaintes
d'administrés mécontents.
Le Maire
Selon l’article R417-11 du Code de la route, « est considéré comme très gênant pour la circulation publique l’arrêt ou le stationnement […] sur les trottoirs, à l’exception des motocyclettes, tricycles à moteurs et cyclomoteurs ». En clair, le stationnement d’une voiture sur un trottoir est strictement interdit par la législation française et représente une infraction au Code de la route.
Contrevenir à cette règle est donc passible d’« une amende prévue pour les contraventions de 4e classe », explique la Sécurité routière. Concrètement, se garer sur un trottoir peut vous coûter une amende forfaitaire de 135 €, majorée à 575 € si vous ne réglez pas votre contravention dans le délai imparti.
Ensuite, « si le conducteur est absent ou refuse de bouger son véhicule pour faire cesser son stationnement dangereux, l’immobilisation et la mise en fourrière peuvent être prescrites ». Idem si vous vous garez sur un passage piéton, sur une voie réservée à la circulation des bus ou des taxis, sur une place réservée aux personnes à mobilité réduite, etc.
Notez par ailleurs que lorsqu’un véhicule est garé à cheval sur le trottoir et sur la chaussée, il s’agit là aussi d’une infraction. Sauf, bien sûr, lorsqu’un trottoir détient un marquage spécifique autorisant le stationnement à cheval d’une voiture.